Argumentaire

Dans le cadre de la célébration de la Journée Africaine des Télécommunications/TIC, le groupe indépendant de réflexion (dont les différents membres de base sont mentionnés ci-haut) a le projet d’organiser un Colloque Numérique International, en abrégé CNI. S’inscrivant dans l’agenda régulier des célébrations de l’organisation panafricaine, le thème retenu par le Conseil d’Administration de l’UA pour le compte de l’année 2021 est : « Développement des compétences numériques pour la transformation numérique de l’Afrique ». De ce thème général consacré par l’UA, le groupe entend mener une réflexion soutenue, avec l’apport ponctué d’éminents penseurs et veilleurs de l’actualité prospective en Afrique, sur le thème dérivé ci-après : Développement et vulgarisation des compétences numériques pour l’amélioration des conditions de vie des peuples d’Afrique.

Objectifs

L’objectif de cette manifestation intellectuelle panafricaine à caractère social est de planter sur le continent l’étendard de veille et d’éveil sur la digitalisation et son apport dans l’amélioration des conditions de vie des peuples africains. Cet objectif prend racine sur le fait que la digitalisation regorge d’énormes potentialités à même de propulser le continent vers un développement aussi bien matériel qu’humain et ainsi de favoriser un meilleur-être de ses populations.

Constats et actions

Cependant, l’on constate que ces potentialités restent, dans une très grande mesure, inexplorées, inexploitées voire mal exploitées pour diverses raisons : des gouvernements en répriment l’usage pour sauvegarder leur pouvoir au détriment du progrès des peuples et du développement réel des pays, des populations qui font l’option préférentielle pour le divertissement plutôt que d’utiliser la technologie de manière responsable en vue de la création des valeurs, etc. Par ailleurs, des efforts sont faits par une frange de la population qui a su saisir assez vite les avantages liés au numérique. C’est ainsi que de la digitalisation toujours croissante des procédures administratives et bancaires (Afriland First Bank, UBA, Ecobank, etc.) à la vulgarisation du e-commerce et e-service facilités par l’e-paiement (Orange Money, Mobile Money), divers domaines de l’économie et de la vie courante vont passer au crible de la raison pragmatique et de la science poétique pour asseoir les bases d’une Afrique post-covidique résiliente dans son économie et dans son mode de vie. De l’Afrique continentale à l’Orient en passant par l’Occident, des panélistes, qui ne sont autres que des auteurs prolifiques aux parcours éclectiques, se chargeront de faire le point sur l’ancrage numérique en terre d’Afrique.

Cette diversité qui caractérise la composition du groupe des initiateurs et des intervenants nous place symboliquement dans une dynamique de trans-nationalisation en vue d’une web-nationalisation africaine et ainsi de réaliser numériquement le vœu des Pères fondateurs de l’UA.

Constats et actions

Cependant, l’on constate que ces potentialités restent, dans une très grande mesure, inexplorées, inexploitées voire mal exploitées pour diverses raisons : des gouvernements en répriment l’usage pour sauvegarder leur pouvoir au détriment du progrès des peuples et du développement réel des pays, des populations qui font l’option préférentielle pour le divertissement plutôt que d’utiliser la technologie de manière responsable en vue de la création des valeurs, etc. Par ailleurs, des efforts sont faits par une frange de la population qui a su saisir assez vite les avantages liés au numérique. C’est ainsi que de la digitalisation toujours croissante des procédures administratives et bancaires (Afriland First Bank, UBA, Ecobank, etc.) à la vulgarisation du e-commerce et e-service facilités par l’e-paiement (Orange Money, Mobile Money), divers domaines de l’économie et de la vie courante vont passer au crible de la raison pragmatique et de la science poétique pour asseoir les bases d’une Afrique post-covidique résiliente dans son économie et dans son mode de vie. De l’Afrique continentale à l’Orient en passant par l’Occident, des panélistes, qui ne sont autres que des auteurs prolifiques aux parcours éclectiques, se chargeront de faire le point sur l’ancrage numérique en terre d’Afrique.

Cette diversité qui caractérise la composition du groupe des initiateurs et des intervenants nous place symboliquement dans une dynamique de trans-nationalisation en vue d’une web-nationalisation africaine et ainsi de réaliser numériquement le vœu des Pères fondateurs de l’UA.

Constats et actions

Cependant, l’on constate que ces potentialités restent, dans une très grande mesure, inexplorées, inexploitées voire mal exploitées pour diverses raisons : des gouvernements en répriment l’usage pour sauvegarder leur pouvoir au détriment du progrès des peuples et du développement réel des pays, des populations qui font l’option préférentielle pour le divertissement plutôt que d’utiliser la technologie de manière responsable en vue de la création des valeurs, etc. Par ailleurs, des efforts sont faits par une frange de la population qui a su saisir assez vite les avantages liés au numérique. C’est ainsi que de la digitalisation toujours croissante des procédures administratives et bancaires (Afriland First Bank, UBA, Ecobank, etc.) à la vulgarisation du e-commerce et e-service facilités par l’e-paiement (Orange Money, Mobile Money), divers domaines de l’économie et de la vie courante vont passer au crible de la raison pragmatique et de la science poétique pour asseoir les bases d’une Afrique post-covidique résiliente dans son économie et dans son mode de vie. De l’Afrique continentale à l’Orient en passant par l’Occident, des panélistes, qui ne sont autres que des auteurs prolifiques aux parcours éclectiques, se chargeront de faire le point sur l’ancrage numérique en terre d’Afrique.

Cette diversité qui caractérise la composition du groupe des initiateurs et des intervenants nous place symboliquement dans une dynamique de trans-nationalisation en vue d’une web-nationalisation africaine et ainsi de réaliser numériquement le vœu des Pères fondateurs de l’UA.